Dans le cadre du démarrage des activités du Projet Prévention Vih/Sida en Afrique Centrale (PPSAC), fruit de la coopération entre le gouvernement Allemand et la Commission de la CEMAC, notamment dans la mise en œuvre de la phase VI dudit projet, il vient de s’ouvrir un atelier qui vise à finaliser et à valider le plan d’activités budgétisé 2025 avec un accent particulier sur la feuille de route du renforcement institutionnel et des compétences de l’OCEAC.
Le premier coup de pioche pour le démarrage des travaux a été lancé par Madame le Secrétaire Exécutif de cette Institution, Dr Khadidja Guirsimi Youssouf, qui dans son propos liminaire a signifié que la mise en œuvre de cette nouvelle phase reflète des changements de paradigmes non négligeables et donc de challenge considérables, malgré le retard accusé pour l’élaboration des procédures. A cet effet, elle a exhorté les experts de l’OCEAC et ceux de la Coordination dudit projet à travailler avec abnégation en vue d’une programmation taillée pour le bien-être des populations de la sous-région.
Au final, un rappel sur les objectifs visés par les TDR a été fait, notamment en ce qui concerne le renforcement institutionnel de l’OCEAC, l’assurance de redevabilité des partenaires de mise en œuvre intéressées et les ministères de tutelle afin qu’ils puissent mieux appréhender et suivre l’évolution de cette mise en œuvre dans chacun des pays.
Durant 3 jours, les participants plancheront sur ces questions, afin de sortir de cette messe qui a lieu au village Mbankomo avec des résultats concluants pouvant aider l’OCEAC à un atterrissage aisé.